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Fille de joie |
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ROMAN, 1999, éd.
La Différence - ISBN 2-7291-1273-1
éd. Folio (05/2001) |
Qu'est-ce qui
est vrai, qu'est-ce qui est faux ? Entre Notre-Dame de Paris et le
boulevard Saint-Germain, autour de la place Maubert, de son marché
et de ses restaurants, les savoureux personnages de Fille de joie
sont confrontés à l'image qu'ils ont de la vérité.
Est-elle identique pour Robert, Léopold et Julie, "ménage
à trois" (terme qu'ils refusent) ? Est-ce l'amour vrai
que rencontre Ludovic, en s'éprenant de Christine pour le charme
d'un fou rire ? |
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DÉDICACES France Inter |
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le 10 janvier 2000
LA DÉDICACE DE L'AUTEUR : La meilleure dédicace que
je puisse trouver pour "Fille de joie" est encore celle
qui est imprimée à la première page du livre
: "Aux amants". J'espère qu'ainsi le roman s'adressera
à tous et que chacun pourra se sentir concerné. On
a écrit de ce livre qu'il était à la fois une
enquête policière, une comédie de moeurs, un
roman philosophique, que sais-je encore... tout cela est sans doute
vrai, mais il serait possible d'ouvrir aussi bien d'autres perspectives.
C'est au lecteur qu'il revient de découvrir le sens d'un
livre, selon l'intérêt ou le plaisir qu'il prend à
sa lecture. Mon souhait serait que l'histoire, car il y en a une
et même plusieurs, comme les personnages de "Fille de
joie" éveillent de profonds échos dans les mémoires
et dans les rêves de ceux qui ont désiré le
lire. Cela me permettrait de signer ici : avec toute ma sympathie,
(Jacques Bellefroid)
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Sélection Fnac "Attention talent"
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EXTRAITS DE REVUE DE PRESSE... |
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Du jeu, des dialogues paradoxaux,
de la fantaisie, de l'observation mordante et ironique de la comédie
sociale. Voilà pourquoi on se précipite sans hésiter
sur "Fille de joie". |
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Josyane Savigneau,
Le Monde |
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Si Jacques Bellefroid croit ne pas avoir renoncé à la
complexité, il a raté son coup. "Fille de joie"
est simple comme bonjour, mais c'est précisément ce
qui en fait le charme et la légèreté. |
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Stéphane Bouquet,
Libération |
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Photographie de C. Ducasse |
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L'un des plus beaux livre de cet automne
littéraire.
Un narrateur anonyme a dessiné un cercle sur le
plan de Paris. A l'intérieur de cette ligne invisible qui va
de Notre-Dame au boulevard Saint-Germain et dont le coeur est
la place Maubert, il décide de suivre, au hasard, quelques personnages
dont les destins vont se croiser ... Derrière l'histoire savoureuse
qui nous est contée, derrière l'anecdote dont ce faux Verbecq
est le prétexte, Bellefroid nous promène dans le vieux Paris
d'aujourd'hui, qui mêle toutes sortes de gens, d'époques, de
moeurs, de rêves. Non sans humour, il se plaît à jouer les peintres
paysagistes, à décrire la rue, les bistrots, les fidèles de
Notre-Dame, le jardin du Luxembourg, le public des librairies.
Mais au-delà de ce travail minutieux se cache une interrogation
: quelle est la vérité d'un lieu ?
Où est la vérité du discours amoureux dans
la fougue de la passion naissante ? Où est la vérité
de l'amour dans le couple ? Où est la vérité
dans l'art, dans les relations humaines ? Jusqu'où est-on
prêt à aller sur le chemin de la vérité ? |
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Michèle Gazier, Télérama |
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À l'heure où tant
de gens traversent les continents de part en part sans les regarder,
Jacques Bellefroid raconte la fin du siècle, la beauté
d'un rire féminin, les impertinences de l'Histoire, en peignant
un coin de Paris dont la place Maubert est le centre de gravité. |
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Sébastien
Lapaque, Le Figaro |
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De la concierge au jeune homme
locataire d'une chambre de bonne, c'est toute une petite humanité
qui s'agite devant nous, comme dans une vaste maison de poupée,
ou ces horloges dont surgissent des figurines animées. |
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Jacques de Decker,
Le Soir (de Bruxelles) |
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uvre de longue haleine où
rien n'est laissé au hasard, "Fille de joie" se donne
les gants d'être écrit au jour le jour, se ménageant
des illusions au présent et des clins d'il surprenants
à l'actualité. |
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René Begon,
Le Matin (de Liège) |
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Paris scintille dans ces pages
comme un astre noir, à la fois promesse de volupté et
abîme de perdition. "Fille de joie" apparaît
comme un roman de feu et d'inquiétude, un appel à la
beauté du monde, une quête de vérité et
de ces instants entre les êtres où le bonheur devient
possible. |
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Alain Favarger, La Liberté (de Fribourg) |
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Un grand livre, tout simplement. |
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Bernard Le Saux,
Le Figaro Magazine |
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Faux polar, vrai roman philosophique,
"Fille de joie" est surtout un livre foisonnant qui nous
plonge dans une sacrée comédie humaine. |
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Bernard Virel, La
Voix du Nord |
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Ce roman qui pourrait s'apparenter
au "mentir-vrai" d'Aragon est un hommage aux "gens
de peu" et un hymne à la primauté de la fiction
sur les incertitudes du réel. |
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Maxime Romain, La
Marseillaise |
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Jacques Bellefroid sait embarquer
le lecteur dans une intrigue complexe, ramifiée, avec une multitude
de personnages et d'histoires parallèles, avant de boucler
son affaire avec une stupéfiante maestria. |
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Jean-Claude Perrier,
Livres Hebdo |
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Paris, cadre privilégié
des romans intimistes où s'étiolait une écriture
blanche à force de masturbation intellectuelle, retrouve des
couleurs grâce à Jacques Bellefroid. |
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Olivier Maison, Marianne |
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Le roman encercle complètement
le lecteur jusqu'à le placer au milieu des personnages. C'est
assez rare comme impression, et cette "Fille de joie" nous
amène au bord du vertige... |
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André Rollin,
Le Canard Enchaîné |
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Savoir perdre du temps, pour le
romancier buissonnier, c'est gagner l'éternité. |
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Patrice Delbourg,
L'Événement |
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Le vrai, le faux, symboles du
mensonge et de la vérité, sont au cur de ce roman
mené au galop. Si cela ne tenait qu'à nous, on lui décernerait
bien un grand prix de fin d'année. |
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Jean-François
Josselin, Le Nouvel Observateur |
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L'art, la vilenie politique, l'amour,
le lieu et le moment - l'insaisissable. |
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Jean-Maurice de Montremy,
Le Magazine Littéraire |
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D'emblée, un éclat
de rire donne le coup d'envoi. Sur la montagne Sainte-Geneviève,
l'amour mène la danse mais trébuche dans des chausse-trappes,
et le fantôme de Mitterrand applaudit les tricheurs en coulisses.
Allez donc démêler le vrai du faux ! |
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Gabrielle Rollin,
Lire |
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Cette histoire de faux tableaux
et de vrais sentiments qui se métamorphosent en vrais tableaux
et en faux sentiments, où tricher est jouer pour de bon, où
l'on complote contre les apparences, où les lois sont bafouées
pour la bonne cause, où les héros sont autant victimes
de leurs mensonges que sauvés par eux, est une histoire comme
on aimerait plus souvent en lire. |
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Gérard-Georges
Lemaire, Verso, Arts & Lettres |
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Un livre moderne parce qu'il montre
que rien n'est vrai que le faux. |
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Alain Veinstein,
Du jour au lendemain - France Culture |
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Somptueux. Un pur bonheur de lecture. |
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Dolores Oscari, Si
j'ose écrire - RTBF (Belgique) |
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