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Le Réel est un crime
parfait,
monsieur Black |
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ROMAN, 1985,
286 pages, éd. La Différence, ISBN 2-7291-0168-3
296 pages, éd. Folio réf. 3419, ISBN 2-07-041365-9 |
Un soir d'hiver,
dans un restaurant indien de Londres où Monsieur Black est
entré sans autre intention que d'y prendre son dîner,
un personnage, placé par hasard à ses côtés,
entreprend de lui révéler un secret : il a découvert
le bonheur.
Jusque-là, Monsieur Black ne présentait aucun signe
particulier qui puisse le différencier d'une espèce
avec laquelle il essayait généralement d'entretenir
des rapports de bon voisinage. Du moins le croyait-il. Mais, depuis
que cette rencontre l'a élu détenteur d'un secret qu'il
n'avait pas sollicité, quelque chose a changé.
Ce soir-là, Monsieur Black aurait peut-être mieux fait
de ne pas quitter sa chambre. |
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Extraits de revue de presse... |
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"Dans Le Réel est
un crime parfait, Monsieur Black, Jacques Bellefroid, avec un style
à rendre pâles tous ceux qui se rêvent écrivains,
ruse avec l'intrigue policière, qui n'est qu'une péripétie."
"Au fil de la minutie descriptive de Bellefroid, on navigue entre
le Dostoïevski du Joueur, de l'Eternel mari, et
un univers de tableaux hyperréalistes, décor où
tout est parfait à l'excès, image à ce point
identique au réel qu'elle ne peut pas être réelle." |
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Josyane Savigneau, Le Monde |
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"L'éternité
viendra-t-elle à bout de Monsieur Black ? Vous le saurez en
lisant ce roman peu commun d'un jeune écrivain qui tranche
nettement sur ses pairs." |
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Jean-Maurice de Montrémy,
La Croix |
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"Monsieur Black semble être
à la fois le fils de Kafka et de Waugh: l'absurde tempéré
par un humour élégant et ravageur. C'est un homme qui
voyage beaucoup. Mais on ne s'évade pas du réel impunément
! Un roman brillant et savoureux, rempli de pièges subtils,
qui ne laisse pas un instant le lecteur en paix." |
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Jean-Marie Le Sidaner,
L'Ardennais |
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"De grâce, ne laissez
pas échapper Monsieur Black, ce vieil enfant bâtard de
la métaphysique et de l'humour que le bonheur menace dans un
restaurant de Londres, et que le monde réel condamne à
la transparence, au demi-mot et à l'insigne modestie :
déjà il s'efface, laissant seule accrochée entre
les pages l'ironie subtile d'un écrivain très singulier.
Dont on ne sait à peu près rien, sinon qu'il est un
virtuose de la mise en abîme et du battage des cartes, et qu'il
a dû s'appeler, dans une vie antérieure, Lewis Carroll." |
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Jean-Louis Ezine,
Le Nouvel Observateur |
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"Surprenant, drôle,
astucieux et inventif."
"Avec son titre et sa jaquette de polar, le dernier roman de
Jacques Bellefroid est l'un des livres les plus surprenants, drôles,
astucieux et inventifs de la saison." |
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Michèle Gazier,
Télérama |
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"Doué d'une écriture
précise et précieuse, d'une rare disposition pour la
litote et d'une magnifique liberté d'écrivain, Bellefroid
construit en quelques scènes à la fois lentes et brillantes
un jeu intellectuel dont la parfaite construction cache de multiples
replis de mystères, d'indécelables passages, d'inquiétantes
chambres secrètes. C'est une comédie très sérieuse,
une méditation très plaisante, une enquête policière
où la victime, l'assassin et le détective ne font qu'un,
une réflexion morale assez pascalienne sur le bonheur et le
divertissement dans laquelle le sourire remparts la fonction maïeutique." |
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Pierre Lepape, La
Ouinzaine Littéraire |
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Premières pages |
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