Jacques Bellefroid Ecrivain
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Les Étoiles filantes


ROMAN, 1984,
136 pages, éd. La Différence, ISBN 2-7291-0133-0
éd. Folio (15/02/2001)

 


   Un soir d'été, Boris propose à Franck de l'accompagner dans les environs de Paris chez Katia, son amie, qui a préparé un dîner. Hélène, une danseuse, est également invitée.
   L'histoire de ce roman « une histoire vieille comme le monde » (Michèle Bernstein, Libération) ouvre, sous les apparences d'une fête et de quelques nuits blanches, le jeu des risques les plus graves : l'amour, l'amitié. Comment parvindront-ils à ne pas perdre la mise, alors que celle qu'ils ont placée sur le tapis est la plus chère de toutes : leur existance ? Ont-ils compris ce qu'ils jouaient ? Ont-ils perdu ? Ont-ils gagné ? Le livre pose la question et laisse au lecteur le soin de trouver la réponse « Adam et Eve, à la porte du Paradis terrestre, parce qu'ils ne sont pas aperçus que le serpent était leur seul ami. » (Michèle Bernstein, Libération).

     
   
Extraits de revue de presse...    
   
"À première vue, Les Étoiles Filantes de Jacques Bellefroid n'ont pas l'allure d'un second roman, ni d'un troisième, mais le ton du premier éclat d'un auteur très jeune et très doué. Mais, sur la page de garde, je vois que son premier roman La Grand Porte est ouverte à deux battants fut publié par l'Herne 1O/18 en 1964. Vingt ans, déjà. Ce qui prouve, à contrario, qu'il est parfaitement maître de son sujet dans cette démonstration de juvénile arrogance."

"Le ton du premier éclat d'un auteur très jeune et très doué. Il ressuscite les plaisirs puérils du bonheur et de la liberté, qui meurent si vite avant l'âge."
Michèle Bernstein, Libération  
   
 
  "C'est le triomphe de la demi-teinte, du non-dit qui parle infiniment : une histoire qui est un peu plus qu'une histoire d'amour, joliment écrite, avec des dialogues justes, et pas plus qu'il n'en faut."
  Pierre-Robert Leclercq, Le Monde  
   
   
  "Il y a dans ce roman une gravité à laquelle on n'est pas accoutumé, parce qu'elle est habillée de légèreté et d'ironie. Les dernières pages ont le pouvoir de faire naître une émotion aussi bouleversante que celle créée par Dostoïevski, dans L'Idiot."
  Maxime Caron, La Voix du Nord  
   
   
  "Jacques Bellefroid sait insinuer le drame au sein de sa comédie fin-de-siècle. Les mots et les sentiments se referment comme un piège sur des êtres plus démunis qu'on ne l'aurait cru au départ.
L'amour (avec son chassé-croisé de couples en formation et en rupture) et l'amitié en prennent un coup dont ils ne se relèveront peut-être pas. Un moraliste tient le stylo."
 
  Christian Giudicelli, Lire  
   
   
  "Avec une simpicité et une finesse remarquables, Jacques Bellefroid rend à l'amour et à l'amitié leur mystère, leur secret , leur évidence."
  Le Matin