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MARIANNE
Le roman français paie la facture sociale
Chômage, exclusion sociale, violence... La preuve par neuf romans que la société est féroce, l'existence désenchantée et la famille le premier repaire d'un monde déshumanisé.

Extrait de l'article de Marianne du Lundi 06 Septembre 1999 par Olivier MAISON

 

    Paris, cadre privilégié des romans intimistes où s'étiolait une écriture blanche à force de masturbation intellectuelle, retrouve quelques couleurs grâce à Jacques Bellefroid, qui n'avait rien publié depuis dix ans.

Dans Fille de joie (9), l'auteur peint toute une galerie de portraits, plus vrais que nature, qui s'animent soudain autour d'un faux tableau. Un roman aussi social que philosophique, qui renoue avec une tradition romanesque classique et se nourrit de l'actualité, de la politique, des moeurs de notre époque pour s'interroger avec humour sur notre propension à confondre le vrai et le faux.

 

Retrouvez l'article complet sur le site de Marianne :
https://www.marianne2.fr/Le-roman-francais-paie-la-facture-sociale_a16993.html


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www.bellefroid.fr